Le traitement de photos par Photoshop Express Editor

Pour le cours LIN:K, il nous fallait corriger des photos avec le programme Photoshop Express Editor. Jusqu’à ce moment-là, je ne connaissais pas ce programme. J’aime bien travailler avec ce programme et j’ai essayé – après avoir corrigé et traité les deux photos qu’il fallait traiter – de corriger une de mes photos.

J’ai choisi le bateau CGN qui court sur le Lac Léman. Tout d’abord, je montre la photo prise à Ouchy il y a quelques années :

CGN de Lausanne

La bouteille dérange évidemment. Et voilà, j’ai alors retouché la bouteille ce qui a demandé une finesse ; au font de la bouteille, il y a de l’eau. Mais la bouteille est posée sur le mur. Il fallait donc essayer de trouver les mêmes couleurs pour ne pas montrer la retouche.

Et voilà la première photo traitée :
CGN traité 1

Cette retouche, je l’ai faite en plusieurs étapes en essayant de trouver les mêmes couleurs du fond.
Ensuite, j’ai repris l’original en faisant la retouche en une étape. Et voilà ce résultat :

CGN traité 2

Malheureusement, on voit encore assez bien la retouche.
J’ai donc repris la photo prise en essayant de la traiter parfaitement pour qu’on ne voie plus la retouche :
CGN traité 3

Après avoir fait plusieurs retouches, je trouve que le résultat est mieux. En sachant que j’ai fait une retouche, on la reconnaît encore, mais c’est tout de même mieux et presque plus visible.

En gros, j’aime bien ce programme de Photoshop ; ce n’est point du tout difficile à travailler. Les traitements proposés sont clairs et compréhensibles. En plus, cela ne prend pas une demie journée pour traiter une photo.
Pour ceux qui sont intéressé à travailler avec ce programme, il y a encore une vidéo comme aide :

Ma création d’un Voki

Et voilà; pour ce Blog, il faut aussi créer un média auditif. En ayant passé par le Blog de Marianne, je suis tombée sur son article de Voki.
Depuis des semaines, j’essaie d’inclure un élément audio dans mon Blog. J’avais lu plusieurs articles et finalement, j’avais réalisé qu’il fallait payer une version WordPress pour inclure de la musique. Par la suite, j’avais inclut un lien par lequel on a accès à un site qui nous laisse écouter de la musique (pour accéder à l’article, cliquez ici). Là-dessus, Max m’avait dit qu’il acceptera cela seulement avec une grande hésitation. En plus, il m’avait parlé d’un programme « audiocloud ». Malheureusement, je n’ai pas encore réussi de trouver le bon programme pour le Mac – et, après avoir eu tellement de problèmes avec le téléchargement du programme Gimp (pour traiter des photos), j’en avais pas envie de revivre le même désastre avec un autre programme…

Heureusement, je suis tombée sur le site de Marianne – qui est, par ailleurs, une mine immense et on y trouve tellement d’articles intéressants qu’on pourrait y passer pas seulement des heures ou jours, mais des semaines ou mois ! Ce Blog ou plutôt les Blogs de Marianne sont fantastiques! A ce moment : félicitations Marianne pour tes créations !

Beh, ci-joint enfin mon Voki :

Et comme Marianne le dit très bien dans son article, en tant qu’enseignant(e), on pourrait bien inclure la création d’un Voki dans la salle de classe ou en classe (comme devoirs par exemple). Les élèves peuvent s’exercer dans la prononciation et ils auront un Voki comme résultat. Dans un de mes articles (pour accéder à l’article, cliquez ici), j’avais parlé de l’inclusion de l’iPhone dans la salle de classe pour s’entraîner dans la prononciation. Cela serait aussi possible avec le Voki. Justement que le Voki serait peut-être plus drôle à créer.

Enfin, si vous êtes tenté de faire votre Voki personnel, faites-le sur le site de Voki.

MOS – le système qui fait de l’ordre…

Et voilà, qui ne le connaît pas ? Le désordre parfait avec les câbles. Des nœuds… Des moments où le Mac annonce que la batterie est presque vide et dans ces dix minutes qui nous restent, il faut tout d’abord trouver le vrai câble, démêler les nœuds et fixer le câble sur la table si possible – sans coudes, sans que ça tire trop,… Difficile, n’est-ce pas ?
Soit sous la table, soit sur la table même… il y a toujours un problème avec l’un des câbles. Qui ne reconnaît pas ce désordre :

15948733

ou le fait de poser un livre sur les câbles pour qu’ils ne tombent pas sur le sol :
câbles

Je viens de tomber sur un article sur Bluewin qui nous montre une solution parfaite pour ce problème de désordre.

La vidéo suivante nous montre les avantages de MOS (Magnetic Organization System) :

Comme la vidéo nous le montre très bien, nous pouvons enfin oublier les livres, la perforatrice,… pour stabiliser d’un côté les câbles sur la table de travail et en même temps, nous aurions enfin un ordre parfait. Il ne nous faut plus chercher le vrai câble, on le trouve beaucoup plus vite. Et bien sûr, on n’aura enfin plus de nœuds dans les câbles.
Tout cela grâce au magnétisme. Et même pour les câbles qui ne sont pas assez magnétique, il y aura la possibilité d’un lien magnétique qui permet de stabiliser le câble sur le MOS. Ce MOS se laisse fixer sur la table même, mais aussi au mur, au pied de table – donc où vous voulez.

Pour terminer, il faut souligner que ce MOS n’est pas très cher – du moins pas si l’on compare avec l’ordre qui nous sera fait ; il coûte entre 23 et 37 CHF (cela dépend si on aimerait l’avoir en plastique ou en aluminium). Pour le moment, on peut l’acheter seulement en Allemagne. Tout de même, cela vaut certainement la peine de faire une petite excursion en Allemagne.

PLE II – la création d’un Blog

Pour le deuxième PLE, il nous fallait créer un Blog personnel. J’avais commencé par ce Blog en Novembre 2012 et cela m’a pris des heures et des journées pour créer ce Blog. Je voulais un Blog personnel qui ne publie pas toute mon identité, mais qui met l’accent tout de même sur ma personnalité ; mon « faible » pour la Romandie, Paris, le français, l’apprentissage des langues étrangères,… En plus, il n’était point du tout facile de trouver la solution comment on inclut sur le site un calendrier, les Blogrolls (ou les liens), différentes catégories,… J’avais regardé les vidéos proposées, mais finalement, je trouve qu’il faut essayer et chercher tous soi-même pour trouver ce qu’on cherche. C’est-à-dire, après avoir passé plusieurs journées pendant des semaines sur mon Blog, j’étais contente ; j’ai réussi d’inclure la Tour Eiffel, un calendrier, la recherche dans les « archives »,… Je trouve que mon site est bien structuré, l’écriture est bien lisible et on a la possibilité de passer à d’autres Blogs qui sont liés soit au cours LIN:K, soit aux sujets différents traités dans un de mes articles. Finalement (il y a quelques jours), j’ai enfin compris comment on inclut un lien pour que le lecteur puisse juste cliquer sur le mot et accéder à un site sur ligne. Evidemment, j’ai donc adapté tous les articles (pour éviter les adresses immenses entre parenthèses). C’est-à-dire, j’ai retravaillé tous les articles en ajoutant des liens à certains mots/termes.

En ayant créé et écrit ce Blog, j’ai bien sûr aussi réfléchi sur le point d’inclure l’écriture d’un Blog dans un cours de l’apprentissage d’une langue étrangère. Le fait que la création d’un Blog prend pas mal de temps me fait hésiter sur l’usage du Blog aux cours. Il me semble difficile de demander mes élèves de créer un Blog, parce que cela prend presque plus de temps de créer un Blog que d’écrire un article. C’est la raison pour laquelle je réfléchis s’il n’est pas mieux de créer un seul Blog pour toute la classe et de proposer soit l’échange à l’écrit sur un livre traité en classe par exemple. Il serait de même possible de proposer un sujet différent par semaine ou par mois et chaque élève serait obligé d’écrire au minimum un article sur ce sujet. Les autres élèves pourraient alors répondre ou commenter, critiquer,… les autres articles. Evidemment, les élèves doivent être au courant sur les règles sur ligne (nétiquette).

Sur ce site, j’ai trouvé de différentes raisons pour utiliser un Blog dans l’enseignement. Je cite les points les plus importants :

Les potentiels didactiques :

  • facile à utiliser
  • support web et hébergement gratuit
  • souplesse et agilité pour la création de contenus (textes, commentaires, images, discussion)
  • espace de communication libre, motivant et interactif
  • il est polymorphe et s’adapte à son environnement (pour la classe,…)
  • favorise le travail collaboratif et la construction de projets coopératifs
  • il permet le tutorat, l’évaluation et la mise en commun entre enseignant et étudiants

Les applications pédagogiques en classe de FLE :

  • deux modalités :

a) un seul auteur / administrateur

b) plusieurs auteurs / administrateurs

  • facile à intégrer aux différents contextes pédagogiques
  • pour réaliser des tâches ou des projets individuels ou collectifs
  • il constitue un vrai cahier de travail pour les étudiants (brouillon et carnet historique)
  • favorise la communication et la motivation pour le travail en groupe ou individuel
  • l’enseignant accompagne et propose des itinéraires pédagogiques (exercices, tâches, débats, mise en commun,…)

Souvent, les élèves ont plus de connaissances concernant la création d’un Blog que la prof. Avant un tel projet avec une classe, il serait recommandable de demander quels élèves auront des connaissances dans la création d’un Blog et la prof peut donc adapter son projet aux connaissances de la classe.

Bref, il serait certainement intéressant de créer un ou plusieurs Blogs avec une classe ; il faut du temps, mais je suppose qu’on aura en gros un bon résultat ; amélioration de l’écriture, de l’argumentation (cela dépend certainement du sujet), de la compréhension de texte,…

Pour ceux qui aimeraient bien apprendre plus de raisons pour le Blog dans l’enseignement, je vous propose plusieurs liens :

Blogs dans l’enseignement des langues vivantes (livre)

Les Blogs : quelques ressources pour les enseignants

Les Blogs dans l’éducation

Et encore une vidéo : « Blogs et enseignement – Mode d’emploi »

PLE II – mes expériences avec les PLEs

Dans cet article, je parlerai de mes expériences avec les PLEs. Au cours LIN:K, il nous faut faire trois différents PLEs. Dans le premier PLE, il fallait créer un site « iGoogle ».
Premièrement, cela m’a pris beaucoup plus de temps qu’indiqué. Je ne connaissais pas ce site jusqu’à ce moment-là. Tout d’abord, il fallait de nouveau créer un site personnel et de même alors aussi un compte pour l’inscription. C’était intéressant de faire la connaissance d’un nouveau site qui facilite l’accès aux sites préférés.
Ci-joint, une première impression de mon site ;

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Google Bookmarks, mon Blog, la météo (de Lausanne), Wikipédia et encore d’autres liens de sites que j’ai mis sur mon iGoogle. iGoogle est un site qui nous permet d’inclure des sites là-dessus qu’on visite souvent.

Il est certainement utile d’avoir un site personnel de Google. Mais il ne faut pas oublier d’annoncer que le site d' »iGoogle » sera fermé en Novembre 2013. Pour ceux qui aimeraient tout de même profiter de l’occasion d’avoir un site personnel de Google, voilà le lien pour l’inscription.

Pour ceux qui auront besoin d’aide pour la création de iGoogle, vous trouverez des informations supplémentaires dans les vidéos suivantes :

En plus, il nous fallait ouvrir un compte sur « diigo« . Il s’agit d’un site qui nous permet de réunir des liens et de les classer dans différentes catégories. Je trouve que ce site est assez utile en ayant vraiment beaucoup de liens et différentes catégories.

Voilà une première impression de mon site sur diigo :
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et le lien pour mon site sur diigo.

Tout de même, je ne suis pas sûre d’utiliser toujours ces sites d’iGoogle et de diigo. Même si c’est pratique, je suis plutôt habituée à mes catégories et classeurs que j’ai créé dans mes listes de favoris et de signets.

Les anglicismes – la suite

Et voilà la deuxième partie des anglicismes (cliquez ici pour accéder au premier article du 6 avril) ! Tout d’abord une chanson « Denglisch » qui met l’accent sur les anglicismes en allemand.

Je trouve que cette chanson exagère l’usage de l’anglais dans les autres langues ou dans ce cas surtout dans l’allemand. Même si c’est presque ironique, j’ai commencé à réfléchir sur le sens de l’anglais dans l’allemand. Faut-il toujours utiliser des anglicismes pour être mieux placé dans la société ?

Pour rentrer au sujet de l’article de la semaine passée ; avez-vous essayé de traduire le texte de la semaine passée ? Vous êtes content de votre solution ?
Andreas Wächter nous propose la solution suivante :

Nachdem man den Rechner gestiefelt und sich eingemeldet hat, startet man einen Blätterer. Dann geht man auflinie, indem man eine Verbindung zu einem Ruf-bei-Ruf-Anbieter wählt, um dann im Zwischennetz von Heimatseite zu Heimatseite wellenzureiten. Bei besonders schönen Seiten macht man vielleicht noch einen Bildschirmschuss.

Will man selbst eine Heimatseite anbieten, muss man sich in die Übertextmarkierungssprache einarbeiten, zusätzlich auch noch in die stufenförmigen Schreibart-Bettlaken. Die fertigen Seiten werden dann in einem Netzraum auf einem Netzbediener gespeichert.

Que pensiez vous ? Faudrait-il chercher des termes autonomes dans chaque langue ? Faut-il aller si « loin » dans la « Eindeutschung » comme le fait Andreas Wächter sur son site ? Bien sûr, il s’agit surtout d’une traduction mot par mot. En tout cas, cela montre la place des anglicismes dans l’allemand (dans cet exemple).

Je trouve cet exercice surtout utile pour montrer la puissance de l’anglais dans les autres langues et cela avant tout dans la technique (et dans la science). Je l’avais fait avec ma classe (une première classe d’un gymnase, bilingue). Les élèves qui ont fait cet exercice comme « Wahlarbeit » (ils avaient eu le choix entre 4 exercices qui étaient tous liés à l’écriture de textes sans anglicismes), ils ont commencé à se plaindre, mais en même temps, ils ont réalisé à quel point on s’appuye sur les termes anglais.

En faisant un cours comme LIN:K, il me semble important de souligner la puissance de l’anglais dans cette branche. Dans l’article « les termes de l’informatique« , on voit évidemment que les termes sont tous en anglais. Bien sûr, cela facilite la communication entre les différents pays si tout le monde parle du même sujet en utilisant du même terme. Tout de même, il y a la difficulté de compréhension chez les gens qui ne vivent pas dans un pays anglophone. Par contre, il faut toujours savoir que la branche technique autant celle de la science sont des branches spécifiques dans lesquelles on a des termes particulier autant comme dans d’autres branches. C’est alors la raison pour laquelle il faut toujours apprendre de nouveaux termes dans n’importe quelle branche. Peut-être est-il vraiment une aide d’avoir les termes dans juste une langue ? C’est à vous de prendre la décision si cela est vraiment une aide ou si cela pourrait présenter un danger de « mort » pour les autres langues – pour qu’elles disparaissent…

Et ci-joint encore quelques articles liés aux anglicismes (Anglizismen als Imponierdeutsch…) :

NZZ : Krieg den Anglizismen

Zeit.de : Anglizismen – Wissenschaftssprache

VDS : Anglizismenindex

Spiegel.de : Anti-Anglizismen

Et pour ne pas l’oublier : Le « Verein der deutschen Sprache » sur « Deutsch oder Denglisch? »

Et pour voir un film sur les anglicismes (vraiment à recommander !), cliquez ici.

Et voilà encore un site sur le Franglais et les anglicismes

De l’anglais à l’allemand – les anglicismes et leur place dans les autres langues

Sur Moodle, Max nous a mis un article sur les « E-Learning-Begriffe » et ces termes montrent visiblement qu’il s’agit sans exception des termes anglais. En plus, j’avais écrit un article dans ce Blog en expliquant quelques termes de l’informatique (cliquez ici pour accéder à l’article).
Ces dernières semaines, j’avais enseigné l’allemand dans un gymnase. L’un des sujets qu’il fallait traiter avec une classe était « les anglicismes ». En ayant préparé les cours à la maison, je suis tombé sur le site suivant de Andreas Wächter.

En ayant lu le texte suivant et l’avoir essayé de traduire, j’ai bien sur commencé à rire. Mais en même temps, j’ai remarqué l’influence et la puissance de l’anglais dans la technique et scientifique – surtout dans la langue. Qui de nous réalise encore que « computer, hotline, homepage,… » sont des termes qui viennent de l’anglais ? Tout le monde les comprend, mais peu de gens réalisent qu’il serait difficile de trouver des termes équivalents en allemand.

Et voilà, un exercice à faire pour vous. Traduisez le texte suivant en allemand standard sans utiliser des anglicismes :

Nachdem man den Computer gebootet und sich eingeloggt hat, startet man einen Browser. Dann geht man online, indem man eine Connection zu einem Call-By-Call-Provider wählt, um dann im Internet von Homepage zu Homepage zu surfen. Bei besonders schönen Seiten macht man vielleicht noch einen Screenshot.

Will man selbst eine Homepage anbieten, muß man sich in die Hypertext-Markup-Language einarbeiten, zusätzlich auch noch in die Cascading Style Sheets. Die fertigen Pages werden dann in einem Webspace auf einem Webserver gespeichert.

Vous avez réussi à trouver des termes équivalents pour les anglicismes ?
Je vous donnerai une solution possible (mais point du tout parfaite) dans l’article de la semaine suivante !

Du 16ème au 18ème siècle environ, le français était la langue mondiale. Ces jours-là, le fait de parler le français avait montré une certaine noblesse d’une couche sociale élevée. Ces jours-là, on parlait encore d’un rendez-vous. Aujourd’hui, on parle du meeting. Auparavant, le père était le papa alors que c’est le dad ou daddy aujourd’hui. Je pourrai continuer cette liste de changements ! Mais je préfère vous donner les liens suivants pour lire un article de Bastian Sick ou d’écouter et voir la version parlée de ce texte même :

Et voilà ; le français était auparavant ce qu’est l’anglais aujourd’hui ; une langue qu’il faut savoir parler (du moins partiellement).
L’anglais est entré dans les autres langues à cause (ou grâce à) de la technique et la science qui influence le monde.

Le portable pour prendre des photos – au lieu de prendre des notes ?

Il y a quelques semaines où un élève m’avait demandé pendant un cours de pouvoir utiliser l’iPhone afin de prendre une photo des solutions que j’avais notées sur le tableau noir. Un petit moment, j’étais irritée ; permettre ou interdire ? Permettre et gagner du temps ? Avoir plus de temps afin d’avancer plus vite ?
Non.

Mais pourquoi ?
J’enseigne une langue étrangère. En notant les solutions soi-même, on corrige en même temps les propres solutions et on a le temps de réaliser où se trouvent les fautes dans l’exercice. Cela permet en même temps de poser des questions au maître. Souvent, il y a plusieurs solutions possibles et c’est donc l’occasion de vérifier sa propre solution. En plus, en écrivant les solutions dans son cahier, l’élève écrit le mot ou les mots. Pour apprendre une langue, il ne faut pas seulement la parler, mais aussi la « sentir dans la main » comme je le dis de temps en temps. Les mots se composent différemment d’une langue à l’autre. Moi, par exemple, je suis arrivée au point que j’écris l’allemand comme le français. C’est-à-dire, j’écris la langue en « me disant le mot en tête » pendant que je l’écris. Et ce qui suit ; ce sont des mots avec des accents aigus ou graves (en allemand). Cela donne par exemple : « hörté ». En français, il n’y a pas mal d’accents et les étrangers autant que les francophones les oublient assez souvent. En s’entrainant, on perfectionne l’écriture et cela même avec des « exercices » dont on ne réalise pas qu’on apprend quelque chose.
J’ai donc expliqué à l’élève pourquoi je souhaite qu’elle note les solutions elle-même et elle a bien accepté cette explication.

Bien sûr, ça peut être utile de prendre des photos – comme on l’a fait dans le cours de Bildungswissenschaften quand le prof nous a montré des exemples de questions sur les sujets traités. Il faut souligner qu’il ne s’agissait pas d’un apprentissage de l’écriture, mais seulement du contenu.

Il faut donc bien voir à quel moment on accepte les photos avec un iPhone ou iPad. Et bien sûr, toujours donner une explication évidente si on l’interdit.

Les moteurs de recherche

Une fois, on avait eu une présentation sur les médias dans l’enseignement et cela au cours LIN:K. Depuis-là, je réfléchis souvent à ce qu’on nous a dit par rapport aux moteurs de recherche. Les moteurs de recherche – apparemment – ont un mémoire virtuel pour sauvegarder nos recherches et les sites les plus souvent recherchés. Je me suis alors demandé si les résultats se diffèrent en faisant une recherche sur son propre ordinateur ou sur un autre. Depuis peu de temps, je possède un iPad. C’est pourquoi j’ai comparé la recherche d’un sujet sur mon propre ordinateur et la même recherche sur l’iPad.

J’ai cherché les termes « walter schnaffs français » ; il s’agit d’une Nouvelle française de Guy de Maupassant.

Et voilà le résultat :

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Comme c’est bien sûr facile à remarquer, les résultats ne se diffèrent pas jusqu’à ce moment. Par contre, je sais qu’ils en existent plusieurs moteurs de recherches. C’est alors la raison pour laquelle je me suis intéressée de voir si les autres moteurs de recherches me donnent d’autres sites.

On passant par Firefox, j’ai fait la même recherche sur Google comme en haut. Etonnamment, ils résultent d’autres résultats (même si j’ai cherché aussi par Google !) :

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Par la suite, j’ai cherché de nouveau les termes « walter schnaffs français« , mais cette fois-ci, par le moteur de recherche Yahoo :

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Evidemment, cela m’intéresse alors de chercher les mêmes termes par le même site, mais en passant par Safari sur Yahoo. Voilà le résultat :

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Donc, de nouveau d’autres résultats. Je pourrais bien sûr faire la recherche en passant par les autres Browsers, mais je crois que ce résultat montre déjà que la recherche dépend du Browser et du moteur de recherche. Bref, si on cherche un terme ou quelque chose sur ligne, il est à recommander de comparer les résultats de différents Browsers et différents moteurs de recherche.

Et voilà quelques adresses de moteurs de recherches :

Google

Bing

Yahoo

Et pour ne pas l’oublier ; un site qui nous présente différents moteurs de recherche :

Weihenstephan moteurs de recherche

Et ci-joint encore un nouveau moteur de recherche, mis en ligne en février 2013 :

Les termes de l’informatique…

Pour le cours LIN:K, il nous faut faire plusieurs PLEs (Personal Learning Environment). Pour un de ces PLEs, il nous faut – entre autre – connaître différents termes de l’informatique. J’ai alors pris la décision d’écrire un article là-dessus afin de faciliter la tâche. Bien sûr, j’en avais besoin de l’aide de l’internet (des moteurs de recherches), mais aussi des livres afin de trouver tous les termes et leurs significations.

Voilà mon travail :

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D’emblée, j’avais prévu de faire une présentation powerpoint. Mais ce n’était malheureusement pas possible de l’inclure dans mon Blog. C’est pourquoi j’ai tout d’abord montré différents termes dans une sorte de brouillard et puis, je les ai mis tout simplement à côté de leur signification. Après avoir fait ce travail de définitions des termes, je voulais encore classer les termes en différents groupes.

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Moi, j’ai préféré de faire un groupe lié à l’E-learning, un deuxième groupe qui concerne le « social bookmarking » et une troisième catégorie dans laquelle je regroupe les termes qui sont liés à la simplification sur ligne. En d’autres termes, je trouve – personnellement – qu’un moteur de recherche par exemple, est un outil qui facilite le travail sur ligne ; pour chercher des documents. iGoogle autant que des Tags servent à aider l’utilisateur de grouper des liens ou des mots pour mieux accéder aux articles ou aux documents souhaités. Je classe le Blog dans la partie E-learning, parce que je l’utiliserai surtout comme E-learning – en sachant que d’autres gens l’utilisent comme journal « intime ». Cela dépend alors de l’utilisation.

Il est donc évident qu’il soit possible de faire plusieurs groupes ou différents catégories et que je montre ici seulement une seule possibilité.